Cette
date, qui se voudrait particulière, a surtout été l'occasion
d'enrichir mon vocabulaire avec un nouveau mot : les
paraskévidékatriaphobes (atchoum !). En d'autres termes les personnes
qui craignent ce jour
fatidique.
La générosité d'une
langue est parfois exemplaire : il suffit qu'un assez grand nombre de gens
soient atteint d'une pathologie mentale comme celle-ci et hop la gloire de
figurer dans le dictionnaire. Pour ma part, étant définitivement
fâché avec les différentes variétés d'ouvre-boîtes
disponibles sur le marché, un linguiste consciencieux me ferait-il
l'honneur de bien vouloir trouver un mot adapté ? Parce
qu’ouvre-boitophobe ça le fait moyennement... On me dis à
l'instant dans mon oreillette que ma proposition a peu de chance d'être
retenue, car pas assez significative. Et les ouvre-boitophobes du vendredi 13,
est-ce que ça serait plus acceptable ? Allez quoi voilà une belle
occasion de créer un nouveau mot le plus long, un truc du genre
ouvre-boitoparaskévidékatriaphobes ! Allez chers académiciens au
travail !
Une galerie
d'ouvertures, de portes et de passages en prime. Le premier qui voit un
ouvre-boîte géant tapi dans la pénombre appelle son psy
!